Le centre de formation professionnelle Simonetta Tosi qui propose des ateliers pour les personnes en situation de handicap afin de leur permettre de faire leur choix en fonction de leurs expériences. Les formations permettent aux jeunes, notamment, d’acquérir des compétences sociales, de la confiance en soir et de la joie de vivre ensemble.
Journée 1
Journée 2
Le Centre de Formation Professionnelle de Roma Capitale, impliqué dans les activités d’échanges prévues dans le projet, est entièrement dédié aux étudiants vulnérables et propose des formations pour les personnes défavorisées (en situation de handicap et en perte d’autonomie) de 16 à 29 ans, comprenant le placement en stage dans une entreprise. Le Département de la Formation Professionnelle et de l’Emploi prévoit également des activités d’orientation au travail à travers le réseau des COL (Centres d’Orientation professionnelle) pour les catégories les plus à risques (migrants, demandeurs d’asile, demandeurs d’emploi …).
“Le Jardin des Simples” du Collège Romain est un projet social réalisé à la Bibliothèque Centrale Nationale de Rome, qui prévoyait la restauration des espaces verts du complexe du Collège Romain, et conçu par Ro.D.A. Onlus – Association pour les parents et les enfants handicapés, fondée en 2009 – pour assurer le droit des enfants handicapés à une vie autonome, constituant un pont de continuité entre la fin du cycle scolaire et l’entrée dans la vie sociale, à travers des possibilités concrètes d’intégration sociale et d’emploi. Avec ce projet, l’Association Ro.D.A. implique dans des activités de jardinage des enfants handicapés à partir de 16 ans, des personnes âgées et des handicapés mentaux qui ont des compétences pratiques. De cette façon, avec chaque personne handicapée, un parcours de formation vraiment inclusif est conçu: la possibilité d’apprendre à entretenir et à prendre soin d’un magnifique jardin.
La FISH (Fédération italienne pour surmonter le handicap), créée en 1994, est une organisation faîtière à laquelle certaines des associations les plus représentatives ont participé, aux niveaux national et local, à des politiques visant à l’inclusion sociale des personnes porteuses de handicap. Les principes de la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées constituent un manifeste idéal pour la Fédération et pour le réseau associatif qui s’y reconnaît et qui s’identifie dans FISH comme sa voix unie envers les principales institutions du pays. Partant de la nouvelle vision bio-psycho-sociale du handicap, opposée à un modèle médical qui depuis des décennies a répété les préjugés et les ségrégations, FISH intervient pour garantir la non-discrimination et l’égalité des chances, dans tous les domaines de la vie. En tant que situations à plus haut risque d’exclusion, la Fédération accorde une attention prioritaire à la condition des personnes ayant des handicaps complexes, qui ne sont pas toujours en mesure de se représenter elles-mêmes, et au soutien de leurs familles. Grâce à la collaboration avec le Forum italien des personnes handicapées (FID) l’organe qui représente l’Italie au sein du Forum européen des personnes handicapées (FED) relie les politiques nationales aux politiques transnationales, en veillant à ce que la contribution du mouvement italien pour les droits des personnes handicapées soit systématiquement représentée, par exemple, à l’Union européenne ou aux Nations unies.
Journée 1 : entre convivialité, échanges et visites avec les partenaires romains
Journée 2 : à la découverte de la Rome historique
Journée 3 : échanges constructifs
Dans un contexte de crise sanitaire, il a fallu adapter le projet WIFFI qui doit se terminer en septembre 2022. Les partenaires de Bologne ont proposé au comité de pilotage du consortium du décembre 2021 de recevoir l’ensemble des participants PEP des quatre mobilités initialement prévues en 2021/2022, sur une seule et même semaine, en présentiel du 28 mars au 1er avril à Bologne. Les partenaires GIO.NET et l’IPSAS Aldrovandi Rubbiani ont proposé un programme commun sur 5 jours articulant leurs deux mobilités.
En Italie, l’enseignement supérieur est composé de: lycées, instituts techniques et instituts professionnels. Les Instituts professionnels proposent une préparation plus axée sur l’aspect pratique que sur l’aspect théorique. L’IPSAS Aldrovandi Rubbiani est un institut professionnel spécialisé dans trois secteurs: graphisme publicitaire, mode et économie. Il est né en 1997 de la fusion de deux écoles, la Aldrovandi et la Rubbiani, déjà spécialisées dans ces 3 secteurs depuis leur fondation.
Après cette fusion, ils ont toujours souhaité actualiser ces trois spécialisations en fonction des besoins du scénario économique régional.
Toutes les formations se font en cinq ans mais, en régime de subsidiarité avec l’aménagement du territoire, l’Institut propose également les qualifications en trois ans: Secrétaire Administratif, Opératrice de Mode, Opérateur Graphique, Opérateur en point de vente.
Cet institut compte un peu plus de 1000 étudiants, provenant de la ville de Bologne et des nombreuses communes voisines de la province de Bologne; le nombre de pendulaires est très élevé. Généralement, les familles dont proviennent les étudiants ont un revenu faible ou moyen.
La part d’étudiants étrangers représente environ 30%. L’école accueille un grand nombre d’étudiants en situation de handicap et avec besoins éducatifs spéciaux et pour lesquels des stratégies éducatives appropriées et des plans personnalisables sont mis en place. Plus de la moitié de nos étudiants décident de ne pas s’inscrire à l’université et tentent d’entrer directement dans le monde du travail
Gio.Net est une association créée en 2016 dans le prolongement d’une collaboration entre plusieurs organisations appartenant au monde de la formation sociale et professionnelle privée dans le cadre de projets européens. L’association rassemble 5 organisations différentes issues de 4 régions qui opèrent dans les domaines de la jeunesse, de manière directe ou en services connexes, fortes de leur enracinement local.
Gio.Net est un lieu de partage pour les agents sociaux, culturels et de jeunesse travaillant au quotidien auprès des mineurs, adolescents et des jeunes. C’est aussi un lieu d’approfondissement, de réflexion et d’expérimentation pour les décideurs politiques, les experts, les aménageurs sur des sujets tels que l’orientation, l’éducation, les politiques de jeunesse, la mobilité nationale et transnationale, la promotion d’une culture sportive et de loisirs. Un espace de partage d’expériences, de bonnes pratiques et d’idées sur les politiques de jeunesse qui valorise des points de vue et des approches différents mais complémentaires.
Lundi 28 mars : accueil des participants à l’institut Rubbiani avec également les équipes de GIO.NET
Les participants alternent entre temps de travail studieux et découverte de la richesse culturelle de Bologne (Musée Bombischi, …).
Découverte des projets et des pratiques innovantes portés par le CEFAL. Le CEFAL est une structure privée qui bénéficie d’un agrément pour assurer des formations auprès des publics cibles. Nombreux outils de formation développés avec des partenaires européens. Les activités du centre bénéficient notamment du FSE.
Présentation du projet « Formbridge » réunissant des partenaires français et italiens. Ce projet est fondé sur la méthodologie de pédagogie de chantier pour la réinsertion, l’accompagnement et la réorientation des jeunes en formation.
Echange avec Annamaria Picotti, référente de lutte contre le décrochage scolaire.
Réception à l’Ostéria La Riz, gérée par la coopérative sociale IT2. Présentation de la coopérative inclusive avec ateliers d’insertion pour les publics à besoin spécifiques
Système éducatif italien pour les étudiants ayant des besoins spécifiques
Lutte contre le décrochage scolaire
Présentation IPSAS Adrovandi Rubbiani
Le 8 avril, l’association GIO.NET a invité les participants de la session à prendre part à un webinaire sur le projet « Form Bridge », projet européen pour développer les instruments de la pédagogie de chantier et les leviers d’inclusion. Le webinaire a été suivi d’une table ronde ayant la thématique suivante : « En quoi les chantiers d’insertion peuvent-ils être un élément de remobilisation pour des jeunes éloignés du marché du travail ? ». Pendant ces échanges, des acteurs de terrain, des représentants des pouvoirs publics et des institutions européennes ont pris la parole.
Le lien vers le replay pour visionner cette séquence sera bientôt disponible sur cette page.
Lien vers la page de l’office du tourisme de Liège pour avoir un aperçu de la destination
Mardi 30 novembre : Accueil et présentations des participants
Départ des participants depuis le siège de la Fédération Générale des PEP à Créteil pour Liège
Mercredi 1er Décembre :
– Échanges sur l’organisation géopolitique et institutionnelle de la Belgique et les enjeux actuels
Matinée de travail pour les participants
– Échanges sur les politiques culturelles et focus sur l’éducation permanente des adultes et les maisons des jeunes
Après-midi studieux
Jeudi 2 Décembre
– Découverte des enjeux de société et des modes d’auto-organisation politique
Une matinée sous le signe du jeu pour la découverte des enjeux
– Échanges sur les politiques d’aides à la jeunesse et leurs mises en œuvre
La Fédération Générale des PEP et le consortium du projet WIFFI remercient Vanessa VANDIJCK, Coordinatrice de la Maison des Jeunes l’Atelier et le « Collectif Barbarie » pour la diffusion de ces images : Lien vers la vidéo du projet du collectif Barbarie
Vendredi 3 Décembre :
– Échanges sur les politiques d’accueil des mineurs étrangers non accompagnés
– Focus sur les politiques d’accueil des mineurs étrangers non accompagnés
Clap de fin pour la mobilité 2 à Liège
Programme
Lundi 22 février : Accueil et présentation des participants
Mardi 23 février
– Échanges sur les politiques culturelles et focus sur l’éducation permanente et les maisons de jeunes
– Présentation du projet « Barbarie, je suis une femme et j’existe »
Mercredi 24 février : Sensibilisation au concept d’interculturalité
Jeudi 25 février : Les politiques d’État social actif et leurs conséquences sociales et économiques
Vendredi 26 février : Échanges sur les politiques d’aide à la jeunesse et leurs mises en oeuvre
Retours d’expérience : Découvrez les carnets de bord des participants à la première mobilité du projet WIFFI
WIFFI (Workers in Forward for Inclusion), projet de mobilité en consortium
Le projet WIFFI reçoit des financements de l’Union Européenne, du Corps Européen de solidarité et de l’Agence Erasmus + Jeunesse et Sport
English version below
Depuis les dernières années, et plus encore depuis la crise économique de 2008, les inégalités en Europe ne cessent de se creuser, avec plus de 20 millions de personnes vivant dans un risque d’exclusion sociale. La Stratégie Europe 2020 avait dans ce contexte été définie pour réduire le taux de pauvreté dans tous les Etats membres de 25% d’ici à 2020. Il existe en effet un lien causal entre pauvreté et manque d’inclusion sociale, qui touche particulièrement les populations à risque que sont les jeunes de 16-29 ans et les femmes.
Deux types de réponses se sont alors mises en place pour agir sur ce phénomène et fournir à tous les européens les conditions d’une existence stable et sécuritaire. La réponse principale, institutionnelle, a engendré la création d’une Plateforme Européenne contre la Pauvreté et l’Exclusion sociale, regroupant les politiques, acteurs et initiatives phares dans les domaines de la mobilité, de l’emploi, des compétences et de la de la protection des droits. Des stratégies et des réponses se sont aussi mises en place, sous l’impulsion d’acteurs de la société civile engagés auprès des publics cibles des stratégies européennes ; elles sont reprises dans le programme Erasmus +, qui réaffirme le besoin pour l’Europe de voir se mettre en place des sociétés plus inclusives et homogènes.
L’Italie, la Belgique et la France sont des états membres engagés pour développer des politiques inclusives. Ils ont mis en place des stratégies différentes en matière de visée inclusive, notamment auprès des jeunes en situation d’exclusion sociale, et plus particulièrement les jeunes en situation de handicap et les mineurs non accompagnés.
L’Italie est un modèle de par sa pratique d’inclusion de tous dans le système d’éducation formelle, qui devrait faciliter l’insertion de tous à tous les niveaux de la société. La Belgique, quant à elle, mène une réflexion sur la citoyenneté pour l’accès aux droits fondamentaux de chacun en milieu ordinaire dans un cadre légal singulier. Le modèle français historiquement basé sur l’accompagnement en institution a montré ses limites ; la France plus récemment, s’est engagée dans une évolution de son offre d’accompagnement et vise aujourd’hui une transformation de celle-ci pour une inclusion facilitée de tous en milieu ordinaire.
Cette diversité d’approches a motivé un projet de partage et de réflexions sur les bonnes pratiques présentes chez chacun devant favoriser l’inclusion de tous, notamment entre 14 et 30 ans, périodes aux ruptures répétées ; le projet WIFFI réunit dans cette perspective, la Fédération Générale des PEP, porteuse du projet, les PEP 19, les PEP 28, les PEP 2B, les PEP 34 et l’association Peuple et Culture Wallonie Belgique, l’Institut professionnel publique IPSAS Aldrovandi RUBBIANI, l’association Gio.Net et le département de la Formation Professionnelle et de l’Emploi de la Ville de Rome,
Le projet WIFFI va permettre à 62 acteurs PEP différents de réaliser une des 8 mobilités de 3 jours de visites et 2 jours de voyage proposées pour rencontrer les équipes de 4 partenaires d’accueil en Belgique et en Italie.
Le projet WIFFI est co-construit entre tous ces acteurs pour permettre d’une part une analyse partagée des pratiques inclusives italiennes, belges et françaises auprès des jeunes de 14 à 30 ans, et d’autre part, une compréhension réciproque des contextes et enjeux auxquels se confrontent chaque pays dans l’objectif de l’étude de la transférabilité des bonnes pratiques retenues.
Les réflexions issues de confrontations culturelles seront ainsi amorcées dans le cadre des mobilités prévues dans le projet WIFFI et permettront d’identifier des pratiques jugées innovantes identifiées au service du développement d’une société inclusive.
Ces rencontres favoriseront l’accomplissement des objectifs européens, nationaux et locaux de tous les acteurs belges, italiens et français impliqués au sein de chaque partenaire du projet, en développant un véritable climat partenarial européen, qui favorisera la mise en œuvre de projets collaboratifs sur le plus long terme au service de l’inclusion des jeunes.
Découvrez l’articlede présentation paru dans le magazine Solidaires 63 en août 2020
English version
The WIFFI project aims to contribute to the establishment of an inclusive society, by seeking to improve the inclusive practices of European professionals acting for the benefit of young people aged 14 to 30, by organizing 8 periods of mobility at 4 European partners all contributing to the inclusion and integration of young people of different ages, fragile, disadvantaged, disabled or migrating.
Mobility participants and their organizations expect a lot from these experiences which will place them for three days in immersion with a host partner, in Italy or Belgium, and will allow them to discover practices with an inclusive aim in their environments, thus allowing them to reflect. under the conditions of transferability of the good practices discovered and retained. Likewise, each host partner wished to be able to deal with the greatest possible PEP diversity; each partner will receive members from two to four different associations.
Observations, exchanges and sharing of experiences should encourage the discovery and understanding of inclusive situations with the identification of key players, their synergies and dynamics specific to each territory, organization, team, the brakes and levers for inclusion.
Each partner will thus be able to take a critical look at their own actions and those of their peers.
Several avenues of reflection could then be envisaged, in order to perfect the professional practices identified by each with its target audience and to identify possible skills transfers or their adaptation.
Mobility will therefore have a direct impact on participants in mobility and reception, on the young people they welcome and support, as well as on the institutions that will potentially have to develop their recognized organizations and practices, training content, etc. impacts can then be reached, thanks to the dissemination actions of each of the partners of the WIFFI project, their professional partners and the general public will also be able to receive feedback (websites, conferences, articles, etc.).
The expected impact elements on young people, the project’s target audience, are:
– Better consideration of the particularities of each person in a fragile and excluded situation at all ages from 14 to 30,
– La facilitation de leur participation à leur projet de vie et en tant que citoyen national et européen,
– Une facilitation de leur mise en relation avec les acteurs du marché de l’emploi,
– Une meilleure connaissance de leurs possibilités à l’international (éducation, exercice de la citoyenneté active, emploi).
More broadly, the spectrum of expectations covers various fields, such as:
– An understanding of the diversity of inclusive situations in Europe to deconstruct its representations and change its outlook,
– An understanding of the richness of European exchanges between peers, their impacts in particular to help remove its own brakes on change,
– Perfecting inclusive practices with young people in fragile situations,
– A consolidation of European relations allowing the birth of lasting cooperation on issues of youth inclusion,
– Networking with other actors, institutional partners and associations,
– Team cohesion, within each association and within the PEP network, caused by the sharing of a European mobility project. Such a project indeed induces a step back from its societal system, its professional practices and a sharing of its analyzes,
– The ability to disseminate at various levels, a tool for continuing the momentum launched to pursue these professional reflections with its local, departmental, regional and international partners in the service of an inclusive societal project.
The rapprochement initiated by the project in terms of knowledge and recognition of actors with similar issues and common societal project, will make it possible to envisage the birth of long-term thinking and partnerships; European projects submitted, active participation in European conferences, ERASMUS + mobility proposals and internships for young people whatever their particular needs,…
This first mobility project initiated by PEP with its European partners should make it possible to build up a network of partners that can be mobilized around issues of social and solidarity inclusion and to establish a common European culture of exchange around inclusive practices and their challenges. , and thus to be better able to influence and participate in the debates and decision-making of national and European governments.
Le consortium des partenaires du projet WIFFI
Le projet WIFFI est piloté par un consortium de partenaires porté par la Fédération Générale des PEP. Il comprendra des membres de la Fédération Générale des PEP, un représentant de chaque association PEP partenaire du projet WIFFI, dument mandaté par son Conseil d’Administration pour représenter son association au sein de ce comité de pilotage, ainsi qu’un représentant de chaque partenaire européen de même habilité par sa direction à intégrer ce comité de pilotage projet.
La Fédération Générale des PEP
La Fédération Générale des Pupilles de l’Enseignement Public (PEP) regroupe 102 associations PEP sur le territoire français comprenant plus de 1 500 établissements et services où travaillent 20 243 salariés qui accueillent et accompagnent près d’1 300 000 personnes fragiles et exclues et leurs familles, que ce soit dans le secteur du handicap, de l’insertion professionnelle, éducatif ou social.
Les PEP agissent pour la promotion et la mise en œuvre d’un projet de société inclusive et solidaire garantissant l’accès de tous aux droits communs et luttant contre le cloisonnement social. Les PEP apportent aux enfants et adolescents, aux adultes et à leurs familles, particulièrement à ceux victimes de l’exclusion sociale, de la maladie, en situation de handicap ou en perte d’autonomie, un accompagnement matériel, moral, social. Les équipes PEP participent à leur éducation, à leur formation et à leur inclusion sociale et professionnelle. Les PEP définissent une société comme étant inclusive lorsqu’elle porte un respect et une attention égale à tous les citoyens et qu’elle leur permet un égal accès au droit commun. La problématique de l’inclusion concerne la société toute entière, et en particulier les jeunes des quartiers défavorisés, les jeunes en situation de handicap ou encore les migrants. Bien que le principe de société inclusive soit l’un des piliers de la société française et européenne et qu’il émane des textes fondateurs garantissant les libertés et droits de chaque citoyen, la construction de cette dernière passe par des évolutions politiques, institutionnelles, mais également par des actions citoyennes au niveau local et national, ce qui guide l’action des PEP depuis leur création en 1915.
Les PEP représentent ainsi un acteur majeur de l’Education Populaire et de l’Economie Sociale et Solidaire, agissant dans trois domaines d’intervention :
– les politiques éducatives vacances, loisirs et culture (PEVLC) : en permettant à toutes les personnes d’accéder aux dispositifs de droit commun de ce secteur d’activités à travers notamment des centres de colonies toujours plus inclusifs notamment grâce à des pôles ressources handicap qui maillent progressivement le territoire,
– les politiques sociales, médico-sociales et de santé (PSMSS) : en accompagnant la personne en situation de fragilité, de handicap, de perte d’autonomie ou de dépendance en répondant à ses attentes et besoins, en favorisant l’inclusion en milieu ordinaire et sa participation entière à l’élaboration et la mise en œuvre des accompagnements proposés,
– les politiques éducatives et sociales de proximité (PESP) : en prévenant et agissant contre les inégalités éducatives et sociales entre les territoires et au sein de chacun d’entre eux en inscrivant l’action dans les politiques publiques territoriales.
Le projet fédéral 2018-2022 énonce les résolutions prises pour une société plus juste, inclusive et solidaire et réaffirme sa volonté de se positionner en mouvement de transformation sociale. La Fédération Générale des PEP, créée en 1915, anime aujourd’hui le réseau de ses associations membres grâce à une équipe dédiée au siège de Créteil (équipe de 26 ETP).
Chacune des associations membres du réseau a sa propre gouvernance sur les territoires et a développé tout ou partie de ces secteurs d’activités selon les besoins locaux. Ceci explique la grande diversité de situations des associations, en termes d’activités, d’établissements, de financements et de ressources notamment humaines.
Le réseau PEP a préservé pendant 100 ans ses capacités d’action et d’adaptation aux territoires tout en s’organisant pour assurer le développement et la professionnalisation afin de porter ses valeurs et ses ambitions au plan national jusqu’à présent, au plan européen aujourd’hui.
Les membres du réseau PEP réunis en consortium autour de la Fédération Générale des PEP pour le projet WIFFI
Les PEP 19 historiquement permettent à des enfants et adolescents des écoles de suivre une scolarité normale pendant des périodes difficiles. Depuis 3 ans, les PEP 19 se sont engagées dans une réponse la plus inclusive possible de la part de ses 27 établissements et services au profit de plus de 4 000 bénéficiaires enfants, adolescents, adultes vulnérables, en situation de handicap ou victimes de discrimination. Cette « volonté politique » mobilise l’ensemble des 480 salariés qui se forment, analysent leurs pratiques, participent à des évaluations pour mieux répondre à leurs missions. Les réponses adaptées s’expriment au travers de dispositifs innovants portés par les Instituts médicaux éducatifs pour une scolarisation inclusive à 100 %, des actions croisées de prévention du décrochage scolaire via les centres médicaux psycho -pédagogiques, la Maison des Adolescents, un centre de formation inclusif par apprentissage. Ces établissements seront sollicités dans le cadre du projet WIFFI qui concrétise cette volonté d’ouverture et d’innovation, piliers du nouveau projet associatif des PEP 19.
Lien vers le site internet des PEP 19
Les PEP 28 œuvrent à la mise en place d’une société inclusive garantissant l’accès de tous aux droits communs en s’appuyant sur 10 établissements ou dispositifs du domaine médico-social, sur 62 accueils de loisirs péri et extrascolaire, 2 centres sociaux, 1 centre de vacances et de découvertes, 1 Groupe d’Entraide Mutuelle, 9 établissements consacrés à la Petite Enfance, 1 Espace Ressources Handicap et 1 Point Info Famille. Au total ce sont près de 1 100 salariés qui travaillent à accompagner plus de 15 000 enfants et jeunes et leurs familles. Le projet WIFFI sera présenté aux professionnels en contact direct avec les enfants en situation de handicap qui travaillent à développer des dispositifs d’inclusion : animateurs, éducateurs spécialisés, assistants sociaux, psychologues, …
Lien vers le site internet des PEP 28
Les PEP 2B agissent sur un large spectre de compétences, avec une spécialisation sur les troubles auditifs et visuels, les bilans des enfants porteurs des troubles du spectre autistique. Ils interviennent dans la prise en charge de 1 500 jeunes et enfants accueillis par plusieurs équipes pluridisciplinaires, soit une centaine de collaborateurs de 5 établissements, et 3 000 enfants qui ont séjourné dans des centres d’immersion linguistique en langue et culture Corse et des colonies de vacances. Les professionnels qui participeront aux mobilités feront partie de l’équipe du Centre pour déficients visuels et auditifs, qui accueille des jeunes de 14 à 18 ans et propose un enseignement spécialisé, des rééducations spécifiques et adaptées, une guidance parentale, l’intégration sociale et scolaire.
Lien vers le site internet des PEP 2B
Les PEP 34 œuvrent à l’insertion d’enfants, jeunes, adultes en situations d’exclusion à travers 17 centres et établissements dans lesquels 480 salariés accueillent et accompagnent ces publics vulnérables. Les participants au projet WIFFI seront issus de l’institut sensoriel auditif qui accueille des enfants et des jeunes de 3 ans à 20 ans, de l’institut médico-professionnel qui accueille des jeunes de 14 à 20 ans, de 2 établissements d’aide par le travail accueillant des jeunes à partir de 18 ans et de 2 Maisons d’enfants à caractère social (qui accueillent 180 enfants et jeunes de 2 ans à 20 ans dont actuellement 7 mineurs non accompagnés) ; 300 jeunes de 14 à 30 ans sont directement concernés dans le cadre du projet WIFFI dont les résultats pourront également bénéficier aux 10 000 enfants, jeunes et familles accueillis et accompagnés par les PEP 34. Dans le cadre de leurs activités Vacances, Culture et Loisirs, les PEP 34 accueillent de jeunes ukrainiens depuis 3 ans et proposent des séjours interculturels franco-allemands sous l’égide de l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse.
Lien vers le site internet des PEP 34
Les partenaires européens
L’association Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles (Belgique)
Dès ses origines, en 1976, Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles a choisi d’agir prioritairement sur le terrain de l’action culturelle et de la formation, contre les inégalités, les aliénations, les conditionnements et toutes les formes d’exclusions qui font obstacles à la démocratie dans les institutions, à l’autonomie, à la responsabilité et à la citoyenneté des personnes. L’association cultive farouchement son indépendance vis-à-vis de tout parti politique et de toute église. Idéologiquement des gauches et philosophiquement laïque, elle reste un milieu favorable à la rencontre et à la formation de militants politiques et syndicaux, d’enseignants, d’animateurs, de formateurs et d’acteurs associatifs engagés dans la lutte contre les inégalités. Wallonie et Bruxelles est l’une des 279 associations volontaires d’Éducation Permanente reconnues et subventionnées par la Fédération Wallonie-Bruxelles de Belgique c’est-à-dire la Communauté de langue française, la Région Wallonne, le Service des affaires culturelles de la Province de Liège et la Ville de Liège. Cette reconnaissance date de 1977.
Toutes ces associations qui constituent un paysage large et varié en raison des nombreuses problématiques sociétales qui les mobilisent et de la diversité de leurs formes d’action, ont toutefois un ADN commun :
– des objectifs qui portent sur des enjeux sociétaux : la construction d’une société plus juste, plus démocratique et solidaire par le développement d’une citoyenneté active et critique.
– des objectifs vis-à-vis de leurs publics : donner à leurs publics le pouvoir de décoder les réalités de la société qui les entourent, de choisir, d’agir en citoyen responsable, d’exercer leurs droits et d’en revendiquer de nouveaux, de s’exprimer dans l’espace public…
– des socles méthodologiques proches : des démarches ascendantes, la construction d’un savoir collectif, le développement de capacités d’analyse critique, la participation active des publics à l’ensemble des processus mis en œuvre, une action et une évaluation collectives.
Historiquement, l’enracinement de l’éducation permanente, en tant que concept et démarche culturelle, se trouve dans l’éducation populaire qui a joué un rôle d’émancipation culturelle et sociale des travailleurs à partir des années vingt. Dans le contexte de la loi des huit heures, ont été votés les arrêtés royaux belges de 1921 et 1925 relatifs à ce qu’on qualifiait alors d’ »œuvres complémentaires à l’école ». La multiplication et la diversification des associations, ainsi que l’amplification de leurs programmes, induisit en 1971 l’adoption d’un nouvel arrêté royal renforçant la prise en compte et le soutien de ces organisations, sur le plan régional ou national. C’est également alors qu’apparut pour la première fois dans les textes le vocable d’ »Éducation Permanente », avec le souci de concerner tous les citoyens, et plus seulement les milieux dits « populaires ». Les organisations encore reconnues en vertu de l’arrêté de 1971 sont désormais dites « de loisirs culturels ».
Le renforcement du soutien structurel franchit une nouvelle étape avec le décret du 8 avril 1976 : « Décret fixant les conditions de reconnaissance et d’octroi de subventions aux organisations d’éducation permanente des adultes en général et aux organisations de promotion socio-culturelle des travailleurs », dont l’article 1er reprenait déjà la définition de l’éducation permanente telle qu’elle est encore comprise aujourd’hui.
Aujourd’hui, dans le cadre du nouveau décret adopté en 2003, l’Éducation Permanente en Fédération Wallonie-Bruxelles reste à bien des égards spécifique dans l’espace européen, par sa démarche, par son inscription dans le champ de la culture et par la politique de reconnaissance et de soutien structurel par les pouvoirs publics. L’originalité de cette démarche culturelle est en outre proche de préoccupations et d’enjeux qui trouvent actuellement une large réceptivité tant en Belgique qu’en Europe, via « l’éducation non formelle », « l’éducation à la citoyenneté » ou encore « l’éducation tout au long de la vie ».
Le décret qui fonde les agréments des associations d’Éducation Permanente organise 4 axes de reconnaissance qui définissent l’action des associations. Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles s’est spécialisée dans la participation, l’éducation et la formation citoyennes, la formation d’animateurs, de formateurs et d’acteurs associatifs et, plus ponctuellement, dans la production de services et d’outils. L’association se revendique de l’Éducation populaire, celle de l’exigence d’une intelligence partagée permettant aux citoyennes et aux citoyens de juger ou d’évaluer les situations pour définir des choix d’actions, dans une quête de justice économique, sociale et culturelle.
Lien vers le site de Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles
L’association GIO.NET (Italie)
L’Association Gio.Net, dont le siège à Bologne, réunit 5 organisations dans quatre régions italiennes (FP Ciofs ER et CEFAL Région Emilie-Romagne, SCUOLA CENTRALE FORMAZIONE Région VENETO, COOSS Région Marche, Coop. ZEFIRO Lucca – Région Toscane).
GIO.NET est une association créée en 2016 dans le prolongement naturel d’une voie de collaboration entre organismes appartenant au monde du social privé et de la formation, réunis dans le cadre de certains projets européens (TOMS, ATOMS – Action To Make System, ATOMS & CO). Elle est donc le fruit d’une expérience commune locale, nationale et européenne et est proposé comme un espace de partage entre ceux qui ont à cœur la réflexion, l’expérimentation et l’échange d’expériences et de bonnes pratiques en matière d’éducation, de formation, sociales, avec une attention particulière sur les politiques jeunesse.
Ce processus de rapprochement a été lancé à partir d’un partenariat multilatéral LLP (2010), puis de deux projets LLP (2015) et Erasmus KA2 (2017 en cours) ; Il a permis de :
L’association GIO.NET a sollicité la Fédération Générale des PEP et les PEP 19 qui ont une compétence avérée en ce qui concerne le décrochage scolaire pour être partenaires dans le cadre d’un projet KA1 Erasmus de mobilité des professionnels, afin d’observer les bonnes pratiques en matière de lutte contre le décrochage scolaire. Les PEP y sont sollicités en tant que « partenaires d’accueil » en partenariat également avec une école de Bologne, pilote de projet avec GIO.NET. Les PEP 19 accueilleront en 2021/22 un groupe de 6/8 professionnels italiens de la région de Bologne pendant 3/4 jours) afin de leur présenter le Programme de Réussite Éducative basé sur une approche globale des difficultés des très jeunes, notamment en milieu scolaire et de l’analyser conjointement.
L’institut professionnel public artisanal Aldrovandi Rubbiani (Italie)
Le Bureau Régional des Écoles de la région italienne d’Emilie-Romagne est un acteur reconnu particulièrement par le Ministère de l’Éducation nationale français comme ayant mis en œuvre des pratiques inclusives performantes. Ces pratiques s’inscrivent dans un contexte législatif adapté. Depuis la loi 517 de 1977, le droit à l’instruction et à l’intégration en milieu ordinaire de tous les enfants handicapés, de l’école maternelle au collège, est inscrit dans la Constitution italienne, ce qui a conduit à la fermeture des « écoles spéciales » destinées auparavant aux élèves en situation de handicap. Aujourd’hui, l’école ordinaire accueille la quasi-totalité des enfants handicapés, y compris ceux qui sont porteurs de handicaps très graves. En 1984, l’intégration des élèves handicapés en milieu scolaire ordinaire a été étendue au lycée. Plusieurs mesures législatives suivent, notamment en 1992 avec la prise en charge individuelle et globale de la personne handicapée, indépendamment de son handicap, depuis sa naissance et durant toute sa vie, en tenant compte de la famille, de l’école, du travail et des loisirs. Puis en 1997, une réforme globale du système scolaire est entreprise qui donne aux écoles la pleine autonomie et prévoit que chacune d’entre elles rédige un plan d’offre de formation qui doit promouvoir le succès de tous les élèves et prévoir des parcours didactiques individualisés pour les élèves handicapés. Enfin, en 2003, l’instruction obligatoire jusqu’à 14 ans, ainsi que la formation obligatoire jusqu’à 18 ans est confirmée par la Loi Moratti (ministre de l’instruction italien) qui prévoit notamment des parcours intégrés école-formation professionnelle pour tous les élèves, en garantissant, à travers des interventions spécifiques, l’intégration des personnes en situation de handicap.
En Italie, le Ministère de l’Éducation, des Universités et la Recherche a des émanations dans chacune des 20 régions italiennes. Le bureau territorial de Bologne porte la responsabilité de l’intégration scolaire dans les écoles du territoire bolognais et du soutien à l’inclusion scolaire. Il a proposé à la Fédération Générale des PEP de rencontrer l’Istituto Professionale Statale per l’Artigianato e i Servizi – IPSAS – ALDROVANDI RUBBIANI, école professionnelle qui forme des jeunes à 3 grands types de métiers au cours de cursus d’une durée de 5 ans que sont le Commerce, la Mode, le Graphisme. En complément, dans le cadre du plan régional, L’IPSAS RUBBIANI propose également des qualifications en 3 ans : commis administratif, opérateur de mode, opérateur graphique, opérateur responsable des points de vente. En tant qu’école de formation professionnelle, IPSAS Aldrovandi RUBBIANI est fortement liée au monde du travail : tous les étudiants, au cours des trois dernières années de leur cursus, participent à un stage activité en entreprise, expérience de formation importante qui permet de faciliter l’intégration au monde professionnel.
IPSAS Aldrovandi RUBBIANI a pour mission de «former des personnes conscientes et responsables à travers les valeurs de la citoyenneté active, dans un esprit de partage des différentes cultures et enrichissant par des différences mutuelles, proposant des formations basées sur de nouveaux profils dans une perspective internationale »
Environ 1000 élèves, entre 14 et 19 ans, fréquentent l’école ; ils viennent de partout dans la province d’Emilie Romagne, beaucoup d’entre eux sont prêts à faire la navette parce que les deux cursus dédiés à la mode et au graphisme sont une exclusivité dans la région. Un nombre considérable d’élèves sont menacés d’exclusion sociale, car ils viennent de familles socialement et économiquement défavorisées.
Environ 33 % des jeunes accueillis au sein de l’IPSAS RUBBIANI sont étrangers: enfants d’immigrés des pays de l’Est (Bulgarie, Roumanie, Moldavie, Ukraine), Chine, Afrique du Nord et Philippines, pour un total de de 44 nationalités différentes. Certains étudiants étrangers en début d’année n’ont pas aucune compétence linguistique en italien, car ils sont arrivés seulement quelques mois plus tôt. Environ 12 % des élèves ont des besoins particuliers.
L’Institut dispose de trois bâtiments, tous situés près du centre de Bologne, avec un accès facile aux services sociaux et culturels. Ce lieu offre des idées et des opportunités d’enseignement étroitement liées au territoire : ce lieu vise à inciter les étudiants à ressentir un sentiment d’appartenance au lieu où ils vivent, étudient et se relient. L’Institut croit fermement à ce sentiment qui nourrit l’engagement social et le respect de l’environnement et des personnes.
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Le département de la Formation professionnelle et de l’emploi de la ville de Rome (Italie)
Le Département Formation Professionnelle et de l’Emploi de la Mairie de Rome (Roma Capitale) promeut et coordonne des projets intégrés d’emploi et de développement social dans le cadre du « Plan de développement local et de travail » à travers la mise en place d’initiatives d’orientation professionnelle, de formation et d’auto-entrepreneuriat. Il gère et coordonne les actions promues par Roma Capitale en matière de formation, d’emploi et d’orientation professionnelle proposés en premier lieu aux personnes pour qui l’accès au monde du travail et de la formation est particulièrement difficile.
Le Département Formation Professionnelle et de l’Emploi a une expérience de plus de trente ans dans le domaine de la formation professionnelle : formation obligatoire, intégration des migrants réfugiés, éducation des adultes, apprentissage tout au long de la vie, apprentissage, projet de mobilité pour étudiants et mobilité entre formateurs… (Programme Erasmus +, Programme AMIF…). Le siège du service des projets européens du Département de la Formation Professionnelle et de l’Emploi et, de l’Agence Europe-Chantier pour la promotion de la citoyenneté européenne et de l’interculturalité, gère les projets de mobilité européenne et d’intégration socio-professionnelle et la mise en transparence des compétences des personnes défavorisées (migrants, réfugiés politiques…). Le service a géré, de 2000 à 2018, la réalisation de nombreux projets de mobilité pour étudiants et formateurs dans le cadre du programme européen Leonardo da Vinci / Erasmus +.
A partir de 2016, le service est devenu titulaire de la « Charte de mobilité VET ». C’est d’ailleurs dans ce cadre que Massimiliano OSTUNI a été invité par l’association GIO.NET au colloque « Do your mob » de décembre 2019. Ces trois jours ont permis une réunion en présentiel de l’ensemble des partenaires italiens avec une représentante du consortium WIFFI et une finalisation du projet après les différents échanges avec chacun à distance.
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