PEP 66 : des locaux provisoires pour le CAMSP de Saint-André

Afin de répondre au mieux aux besoins des populations, implanter une antenne du CAMSP de Saint-Estève à Saint-André semblait nécessaire. C’est un projet qui date de quelques années, pour lequel il a fallu beaucoup de patience et de ténacité en attendant le moment favorable pour le lancer. Le CAMSP polyvalent de l’ADPEP 66 a pour objet le dépistage, la cure ambulatoire et la rééducation des enfants de 0 à 6 ans de l’ensemble du département des P.O. qui présentent des déficits sensoriels, moteurs ou mentaux, en vue d’une adaptation sociale et éducative dans leur milieu naturel. Le 8 juillet 2016, l’ARS (Agence Régionale de Santé) a donné son accord pour installer une antenne sur la commune de St André à condition que cette installation soit réalisée pour le 1° novembre 2016. À partir de ce moment, tous les acteurs ont déployé leur énergie pour mener à bien ce projet d’installation provisoire dans des préfabriqués. M. Manent, Maire de la commune de Saint-André, son équipe municipale, les représentants de l’ADPEP 66 notamment M. Clarimon, Président de l’ADPEP 66, la directrice du C.A.M.S.P., Mme Villard, ainsi que son équipe ont tout mis en œuvre afin que cette antenne soit opérationnelle sur Saint-André comme l’imposait le cahier des charges, le 1°novembre 2016. Le 19 décembre 2016, Ségolène Neuville, secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion est venue féliciter l’ADPEP66 et toute l’équipe de C.A.M.S.P. de Saint-André, accompagnée du député Pierre Aylagas, du directeur de l’ARS, de la directrice du cabinet du préfet. Très intéressée et à l’écoute de toute l’équipe, elle a affirmé : « nous faisons en sorte que les familles accèdent au service public. Chaque métier, de la psychomotricienne à l’assistante sociale, en passant par les éducateurs, les kinés, les orthophonistes et l’ensemble du personnel autour de l’équipe médicale, a son importance dans notre volonté d’offrir un accompagnement personnalisé, de trouver une solution pour chaque enfant, comme chaque adulte handicapée. Et surtout de ne laisser personne au bord du chemin. »

Publié le 19 janvier 2017

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